Dans La couleur de l'ombre, l'idée est de montrer une évocation aux jeux de lumière sur les façades d'où surgissent, selon les ombres, des images, furtive et évanescente. Le rapport frontal exprime ma perception de l'extériorité de la façade tandis que la couleur est liée à ma perception de l'intériorité, de la douceur et du rêve. La réflexion sur le support et la surface permet de travailler la toile comme une peau qui réagit à son environnement. Il s'agit plutôt d'un processus qu'une expérience figurative. Cette série comporte 30 tableaux.
COTINAUD Christine 7 seront exposées à Nice jusqu'à fin Juillet, vernissage le 4 Juillet à la galerie Ségurane. Sois le bienvenu !
The 07-01-2012
Analyse de l'oeuvre d'art par l'expert Artisteo
« Cette oeuvre toute en finesse et sensibilité, très vibratoire, présente l'intérêt de se situer entre abstraction géométrique et abstraction gestuelle à tendance lyrique en empruntant des codes aux deux familles. L'aspect géométrique qui fait appel à un ensemble de formes identiques est représenté par la trame du fond composée d'une mosaïque de 16 carrés qui sont visibles mais pas est envahissants et permettent une lecture à la fois parcellaire et globale de l'oeuvre avec circulation d'un plan à l'autre. Autrement dit, chaque carré est une oeuvre à part entière qui s'inscrit dans un ensemble cohérent : tout est dans tout mais chaque composition des petits carrés tient tout en ayant une relation avec ce qui se passe dans le carré le plus proche. Le minimalisme cher à l'abstraction géométrique se reporte ici dans l'économie de moyens de la couleur, des ocres orangés et sienne qui constituent quasiment un monochrome. Et, en fin de compte la poésie et l'aléatoire l'emportent sur le formalisme. Une impression confirmée si l'on visionne les autres oeuvres de cette série. »
Présentation de l'oeuvre d'art
Matière, couleur et forme sont une évocation aux jeux de lumière sur les façades d'où surgissent, des images, furtive et évanescente. Il s'agit plutôt d'un processus qu'une expérience figurative. Cette série comporte 30 tableaux.
« Cette oeuvre toute en finesse et sensibilité, très vibratoire, présente l'intérêt de se situer entre abstraction géométrique et abstraction gestuelle à tendance lyrique en empruntant des codes aux deux familles. L'aspect géométrique qui fait appel à un ensemble de formes identiques est représenté par la trame du fond composée d'une mosaïque de 16 carrés qui sont visibles mais pas est envahissants et permettent une lecture à la fois parcellaire et globale de l'oeuvre avec circulation d'un plan à l'autre. Autrement dit, chaque carré est une oeuvre à part entière qui s'inscrit dans un ensemble cohérent : tout est dans tout mais chaque composition des petits carrés tient tout en ayant une relation avec ce qui se passe dans le carré le plus proche. Le minimalisme cher à l'abstraction géométrique se reporte ici dans l'économie de moyens de la couleur, des ocres orangés et sienne qui constituent quasiment un monochrome. Et, en fin de compte la poésie et l'aléatoire l'emportent sur le formalisme. Une impression confirmée si l'on visionne les autres oeuvres de cette série. »
